L' effet Pygmalion

Le regard, les pensées et les attentes que l’on pose sur l’enfant va influencer son comportement. Cette découverte est dû au psychologue américain Robert Rosenthal et ses expériences. Il demanda à deux groupes d’étudiants de faire traverser un labyrinthe à des rats. Le choix des rats a été faite totalement au hasard. Cette expérience devient intéressante lorsqu’ il a été dit au premier groupe d’étudiant que les rats qu’on leur avait confiés étaient des rats compétiteurs. Au deuxième groupe, on leur dit que leurs rats étaient banals. Les rats du premier groupe ont gagné. Cette expérience a été reconduite dans une école. Des tests de QI ont été réalisé dans une classe. Les résultats, ont été distribués par erreur (consciente) aux professeurs. Ceux-ci, donnaient à certains élèves un QI bien plus élevé que les autres. A la fin de l’année, les élèves associés à un QI au-dessus de la moyenne ont obtenu de meilleurs résultats. Les professeurs ont avoué avoir manifesté plus d’intérêt, de sympathie et de chaleur aux élèves avec un QI élevé. En agissant avec eux comme s’ils possédaient déjà la réussite en eux, du fait des neurones miroirs, il va acquérir les qualités et les potentiels qu’on lui renvoie.  Pour pouvoir développer les compétences cognitives et sociales chez l’enfant, celui-ci doit être regardé de manière positive et bienveillante. Le regard à tout aussi son importance que l’amour que l’on porte à nos enfants.